Quand on perd quoi que ce soit, cela prouve que dans le subconscient, on croyait à une perte possible. En extirpant cette erreur, l'objet, ou son équivalent s'extériorisera.
Voulez-vous un exemple ? Une dame avait perdu un stylomine d'argent au théâtre.
Elle mit en vain tout en oeuvre pour le retrouver.
Or, refusant d'admettre cette perte elle ne cessait de répéter cette affirmation :
<< Je nie cette perte, il n'est pas de perte dans l'Esprit Divin ; je ne peux donc
perdre ce stylomine. Il me reviendra, ou son équivalent >>.
Plusieurs semaines s'écoulèrent. Un jour, elle rencontra une amie qui portait au
cou, pendu à un cordonnet, un beau stylomine en or. Et, tout à coup, cette amie se tournant vers elle lui dit : << Voulez-vous ce stylomine ? >>.
La dame stupéfaite, s'écria ( oubliant presque de remercier son amie ) :
<< Oh mon Dieu ! Qu'elle Grâce merveilleuse ! Le stylomine d'argent n'était donc
pas assez bien pour moi ? ! >>.
L'homme ne peut perdre que ce qui ne lui appartient pas par Droit Divin,
ou ce qui n'est pas digne de lui.